Trois heures de lecture, sinon rien !

Ce mardi 10 octobre, j’ai lu 150 pages du roman Niels d'Alexis Ragougneau. J’ai aimé le fait que ce livre parle des résistants pendant l’épuration de la Seconde Guerre mondiale, c’est un point de vue différent des soldats par exemple, et aussi parce que cela change de ce que j’ai pu lire jusqu’à présent. J’ai également apprécié le fait que le roman tourne autour du théâtre, avec non pas des parties et des chapitres mais des actes et des scènes, mais aussi à travers les personnages notamment Niels qui est un metteur en scène danois et qui va rencontrer d’autres personnalités littéraires comme des écrivains, d’autres metteurs en scène et des comédiens. J’ai peut-être moins aimé la longueur des chapitres, ou devrais-je dire des scènes, qui étaient plutôt longs à mon goût, et aussi le fait qu’il y ait beaucoup de dialogues. Bref, ces heures de lectures ont été agréables.

Manon

Ce mardi 10 octobre, j'ai lu 84 pages du roman Un loup pour l'homme de Brigitte Giraud. C'est l'histoire d'Antoine ,vingt-deux ans qui aime Lila qui attend un enfant. Mais Antoine est convoqué pour la guerre d'Algérie en mai 1960. Maigrichon, Antoine décide de ne pas combattre au front mais d'être infirmier. Il s'occupe alors des rescapés qui vont être rapatriés en France. Il se lie d'amitié avec Martin, Jo et Granger, mais aussi avec Oscar, amputé de la jambe droite qui reste muet. Antoine s'intéresse à lui et à son passé tout en pensant à Lila sa bien-aimée. Pour l'instant le roman est agréable, facile à lire. Je me suis rapidement plongée dans l'univers du livre pour comprendre ce qui est arrivé à Oscar et pourquoi Antoine lui porte autant d'attention.

Océane

Ce mardi 10 octobre, j'ai lu 154 pages du roman Nos Richesses ; je l'ai d'ailleurs terminé le mercredi 11 octobre. J'ai beaucoup aimé l'histoire de ce roman, elle est très intéressante à lire. Je trouve que ce livre se lit assez facilement et qu'il est facile à comprendre. J'aime beaucoup le style d'écriture qu'utilise Kaouther Adimi. Il est différent de ce que l'on peut rencontrer dans les autres romans, notamment le style "bourgeois" de Véronique Olmi. Je trouve justement très intéressant de découvrir quelque chose de nouveau, je n'aime pas le fait que tout les styles se ressemblent, cela prouve que chaque style d'écriture peut être servi et qu'on peut créer son propre style. Bref, ces heures de lecture ont été très agréable, envoûtantes et enrichissantes.

Laura

Ce mardi 10 octobre, j'ai lu 90 pages du roman Summer de Monica Sabolo. Dans ce livre, la romancière nous raconte l'histoire de Summer du point de vue du frère qui a perdu sa sœur dans une disparition mystérieuse et inexpliquée. De toutes les pages que j'ai lues, ce n'est que de la description, des souvenirs du frère. Le livre n'est pas rythmé. J'ai tout de même beaucoup apprécié l'histoire, elle est intéressante car nous avons envie de savoir le dénouement, la fin, ce qui est réellement arrivé à Summer. Le livre est quand même facile à lire.

Emma D.

Ce mardi 10 octobre, j'ai lu 138 pages du roman Bakhita écrit par Véronique Olmi. Le livre raconte l'histoire de Bakhita, une petite fille noire enlevée de son village et mise en vente en tant qu'esclave. Dès les premières lignes du roman, j'ai été emportée par la narration. C'est un livre qui me plaît beaucoup bien que je n'aie lu que le début. Je n'ai pas vu le temps passer tant l'histoire est captivante. C'est un roman qui fait réfléchir, on n'en sort pas indemne. Bref, ces heures de lectures ont été envoûtantes.

Victoire

Ce mardi 10 octobre, j'ai lu entièrement Trois jours chez ma tante. Ce qui m'a plu, c'est le fait que ce soit une enquête un peu comme chez Fred Vargas, on découvre la vérité au fur et à mesure de l'enquête. Ce qui m'a déplu, c'est l'arrogance du personnage envers sa tante sinon tout me plaît. Bref, ces heures de lecture ont été envoûtantes.

Léa S.

Ce mardi 10 octobre, j'ai lu 35 pages de Nos richesses de Kaouther Adimi. J’ai aimé le fait que le livre soit très facile à lire et très intéressant. J’ai aimé l’amour que porte le personnage à son métier ainsi qu’aux livres :cela est incroyable. J’ai aimé le fait qu’il soit très attaché à cette librairie. J’ai aimé le personnage d'Edmond Charlot : il est très touchant et attachant. Bref ces heures de lecture ont été touchantes et émouvantes.

Alyzée

Ce mardi 10 octobre, j'ai lu 260 pages du roman de Véronique Olmi, Bakhita. J'ai d'ailleurs fini le roman. Ce fut une lecture très intense et éprouvante. C'est une œuvre très émouvante qui nous tient en haleine et nous entraîne à la découverte d'une vie extrêmement difficile, celle de Bakhita. L'adrénaline est à son paroxysme à la lecture de ce roman à la fois révoltant et attendrissant grâce au mélange de haine et d'amour qui donne le ton au roman. J'ai beaucoup aimé la dimension historique que le roman explore. En effet, on aborde le sujet de la traite négrière au sein du continent africain à travers l'histoire d'une esclave ayant vraiment existé ; ce qui est très enrichissant. Pour ma part j'ai beaucoup moins aimé la partie dans laquelle est racontée l'entrée au sein des ordres de Bakhita jugée trop longue à mon goût. Ces heures de lecture furent à la fois envoûtantes mais également difficiles à supporter à cause de la violence explicitement expliquée dans ce chef-d’œuvre.

Flavie

Ce mardi 10 octobre, j'ai lu 85 pages du roman de Brigitte Giraud, Un Loup pour l'homme. J'avais premièrement choisi le livre Nos Vies mais celui-ci ne m'ayant pas plu, je me suis finalement tournée vers Un Loup pour l'homme. Ce qui m'a le moins plu dans ce livre pour l'instant, c'est que le début est trop rapide. La scène est directement présentée. Une chose que j'ai appréciée, c'est le fait que chaque personage ait sa propre partie dans le livre. Les phrases ne sont ni trop longues,ni trop courtes ; ce qui donne une lecture plus agréable. Les dates de chaque événement sont souvent précisées ; ce qui donne un repère précis. On arrive aussi à voir et ressentir ce qu'Antoine ressent, et ce qu'il vit à travers l'écriture de Giraud.

Soraya

Ce mardi 10 Octobre, j'ai lu 250 pages du roman Summer de Monica Sabolo. Tout d'abord, j'ai aimé le style d'écriture. On trouve un style d'écriture assez féminin et doux. Parfois on trouve aussi d'assez longues phrases. Et alors que ce n'est pas dans mon habitude d'aimé cela, je n'ai eu aucun problème lorsqu'il y en avait, grâce au choix des mots utilisés, au vocabulaire simple et clair. De plus , j'ai aimé le personnage de Benjamin Wassner, qui complimente énormément sa soeur qui est son contraire. Il me renvoie l'impression d'un personnage doux, absolument anormal. Et j'ai aimé aimé l'histoire. Je la trouve interessante car on ressent ce que ressent Benjamin. Mais lui ressent aussi la tristesse de ses parents, ce qui donne plusieurs points de vue en un seul. En revanche, je n'ai pas aimé comment sont répartis les souvenirs de Benjamin. Je me suis sentie perdue dans les pensées du personnage à plusieurs reprises. Je ne savais pas si les souvenirs dont il faisait part s'étaient passés avant ou après la disparition de sa soeur.

Anaïs

Ce mardi 10 octobre, j'ai lu 150 pages du roman Trois jours chez ma tante d'Yves Ravey. J'ai fini le livre mercredi après-midi. Le titre ne m'attirait pas spécialement au début mais en lisant le livre, j'ai fini pas apprécier l'histoire qui m'a été présentée. Le livre est constitué de 187 pages au total et il s'avère qu'il est très simple à lire, je l'ai lu et fini facilement. En quelques mots, ce livre nous raconte l'histoire de Marcello Martini, qui, tous les mois recevait de l'argent de la part de sa tante Vicky, pour financer l'association humanitaire qu'il a ouverte en Afrique, pour aider les enfants en difficulté. Malheureusement, cette tante décide d'arrêter de verser des fonds pour son neveu car elle estime que toute cette affaire n'est pas nette. Marcello se rend donc en France pour régler le souci avec sa tante. Néanmoins, ce n'est pas livre que je jugerai comme étant incroyable, l'histoire est assez simplette, il n'y a pas tellement d'intrigue, le seul suspense qu'il y a dans l'histoire c'est lorsque l'on évoque le prénom de Walter, qui cause de nombreux soucis à travers la famille. On se rend donc compte que l'affaire du fils n'est pas si claire et bienfaisante que l'on pourrait l'imaginer.

Léa D.

16/10/2017

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